Correction exercice 2 :
1
- Le principe de continuité peut être appliqué ici car il s'agit de roches sédimentaires n'ayant subit aucune déformation. Les roches supérieures sont donc postérieures aux roches qui se situent en dessous.
Le principe d’identité paléontologique nous permet de
savoir que les calcaires d, h et j se sont déposés en même
temps. Il en est de même des calcaires à globigérines a,
e et i.
Les calcaires c et g, sont encadrés par les mêmes couches de roches. Le principe de continuité nous permet de dire qu’elles se sont formées à la même époque.
Il y a donc au moins une discontinuité ; entre les couches i et j.
Les
évènements dans l’ordre sont donc : dépôt des
couches d, h et j, puis début de la discontinuité suivi du dépôt
simultané des
couches c et g, puis b et f.
Enfin dépôt simultané des couches a, e et i après
la fin de la discontinuité.
2 – La discontinuité correspond à un arrêt de la sédimentation à ce point là… voire même à une période d’érosion après des dépôts.
3 – Les trois logs permettent de retrâcer l’histoire d’une région dont le niveau marin a varié.
Le
dépôt de calcaire nous montre que ces trois lieux étaient
immergés à une certaine époque.
Puis l’absence de dépôt sur le troisième log nous
permet de croire que le lieu qui lui correspond a été émergé.
Il a été émergé surement à cause d’une
baisse du niveau des eaux car on retrouve des formations caractérisitques
des milieux marins peu profonds ( Coraux, Marne de bordure côtière
).
Enfin le niveau marin semble être remonté par rapport aux trois
points car on n’observe plus que des dépôts de calcaire (marin).